VILLE VOLCANIQUE ANTSIRABE
Nous allons sur Antsirabe, achats de cartes et de timbres, les chalands nous accostent dans le bus, premiers achats de T-Shirts, visite d’un atelier de pierres précieuses, quelques jolis achats nous avons roulé sur des pierres semi-précieuses parmi les tortues (en fauteuil), il n’est pas inutile de faire de grandes études de commerce, ce pays rend humble, les Malgaches sont excellents commerçants. Puis visite de la ville en pousse-pousse, un phénomène dichotomique, nous avons le choix entre le folklore du pousse-pousse coloré c’est sympa de se faire porter, et de l’autre côté nous éprouvons de la gène à se faire porter par François 1er ou Jean-Claude etc, les meneurs sont pieds nus, malgré la rudesse de la route à moitié bitumé, à moitié en terre, c’est un dilemme cornélien entre tradition ancestrale et logique économique. Une halte au restaurant le Zambina, dégustation de zébu grillé, et quand zébu zai pu soif accompagné de nos premières frites et d’un cocktail de jus de fraise, mangue et avocat. Nous retournons à l’hôtel pour une démonstration de taille de corne de zébu, encore de précieux bijoux ou objets d’art. Puis dîner en ville, orchestre de musique traditionnelle : Fotsy, apprécié à l’unanimité, Cathy a même testé la harpe Malgache sur les genoux du chanteur.
Nous allons sur Antsirabe, achats de cartes et de timbres, les chalands nous accostent dans le bus, premiers achats de T-Shirts, visite d’un atelier de pierres précieuses, quelques jolis achats nous avons roulé sur des pierres semi-précieuses parmi les tortues (en fauteuil), il n’est pas inutile de faire de grandes études de commerce, ce pays rend humble, les Malgaches sont excellents commerçants. Puis visite de la ville en pousse-pousse, un phénomène dichotomique, nous avons le choix entre le folklore du pousse-pousse coloré c’est sympa de se faire porter, et de l’autre côté nous éprouvons de la gène à se faire porter par François 1er ou Jean-Claude etc, les meneurs sont pieds nus, malgré la rudesse de la route à moitié bitumé, à moitié en terre, c’est un dilemme cornélien entre tradition ancestrale et logique économique. Une halte au restaurant le Zambina, dégustation de zébu grillé, et quand zébu zai pu soif accompagné de nos premières frites et d’un cocktail de jus de fraise, mangue et avocat. Nous retournons à l’hôtel pour une démonstration de taille de corne de zébu, encore de précieux bijoux ou objets d’art. Puis dîner en ville, orchestre de musique traditionnelle : Fotsy, apprécié à l’unanimité, Cathy a même testé la harpe Malgache sur les genoux du chanteur.
Eh oui, c'est la réalité à Madagascar, c'est un peu triste mais ces pousse-pousses aussi font partie du charme de la ville d'Antsirabe, car ce n'est pas dans tout Madagascar qu'on en trouve. Il faut seulement mettre en tête qu'en se faisant portée par ces gens, vous contribuez déjà à leur vie quotidienne.
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